Genèse, chapitre « IV » :

La duplication des cellules forme une suite : 1 devenant 2 qui devient 4. La Genèse suit également cette logique.

Les prémices de la rencontre de la biologie cellulaire et des mathématiques commencent ici car les deux premières cellules Adam en Eve…

…aboutissent à 4 cellules.

Le paragraphe suivant constitue une transition vers le domaine de la dynamique des cellules et des interactions qu’elles manifestent au moment de la création d’un être humain.


A partir du chapitre IV, la lecture effectuée avec les illustrations visuelles provenant de l’Invariance Par Rotation marque une pause.En effet, la Genèse introduit des informations relatives aux rôles des premiers habitants de cette Terre au sein de leur communauté… La lecture semble banale et tend vers un simple constat.

Selon ma lecture, ces informations constituent de véritables indices dans une lecture métaphorique. Ces métiers, fonctions et produits ont-ils une résonance dans le domaine des sciences étudiant les processus biologiques et cellulaires ?  Les biomathématiques prennent alors le relais.

J’utiliserai donc, pour cette exploration métaphorique, les recherches effectuées par le professeur Gilbert Chauvet pour continuer d’explorer la Genèse.

Voir : http://www.automatesintelligents.com/biblionet/2001/aout/g_chauvet.html

Que deviennent les éléments « métiers », « personnages », « produit » sous une autre perspective de lecture, celle de la mécanique cellulaire humaine ? Ces éléments deviennent « fonctions », « cellules », « produits » au sein d’une interaction complexe régie par le temps et l’espace.

La première étape consiste donc à souligner tous ces éléments :

La première étape consiste donc à souligner tous ces éléments :